LUCIE VALENTINE
Auparavant journaliste culturelle à Paris, Lucie-Valentine se livre sans fards ni tabous sur un blog personnel pour se relever d’un burn out, avant de composer ses premières chansons au piano, repliée chez sa grand-mère, au lendemain de la perte tragique de son frère. Six ans plus tard, elle signe son premier opus en son hommage.
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« La Vie est belle » est le fruit de rencontres sur trois années de composition et d’écriture intense. Les arrangements électroniques sont amenés par les producteurs belges Max Montagne, Konoba, Thibaud Demey et Nico d’Avell, à qui elle confie ses maquettes. Les paroliers William Larqué, Livia Phelizon, Iza Loris, Hughes Maréchal, Jérôme Pinel, Stan Pollet et 5Mory ont également contribué au projet.
Du chaos à la lumière, sa poésie joue avec des maux qui prennent racine dans les profondeurs de l’âme et les humeurs du monde. La douceur côtoie la mélancolie pour toucher l’auditeur en plein cœur. Au gré des mélodies, la voix se libère et la magie opère.
Solaire et débordante d’énergie, la jeune femme exprime ses tourments en musique, avec un brin de folie, un grain d’humour, mais surtout beaucoup d’amour.
Avec des centaines de concerts à son actif et sa chaine YouTube , Lucie-Valentine s’affirme avec « La Vie est Belle ».
Un premier album aux sonorités pop française, sensible et coloré, dans lequel l’auteure-compositrice-interprète belge raconte le chemin parcouru pour retrouver la joie de vivre. Programmé sur Nostalgie Belgique, son single « Veuve Clicquot » reçoit un bel accueil avec plus de 50000 streams sur Spotify.
Au fil de son parcours, l’artiste s’est déjà illustrée aux Francofolies de Spa, en première partie de Diane Tell à Bozar, en demi-finale du concours Du F. dans le Texte, aux Soirées Métissées du Centre Culturel de l’Entrela où elle reçoit le prix du public, aux Estivales de l’Abbaye de Villers ou encore lors des Fêtes de Wallonie où elle se voit attribuer un prix Namur Confluent Culture. L’artiste, en concert, en Belgique et en France, est accompagnée par Antoine Dandoy au clavier, à la guitare et aux choeurs.
« Impossible de ne pas être touché(e) par la douce voix de Lucie-Valentine
«C’est quand qu’on t’entend à la radio ?»
«C’est quand qu’on t’entend à la radio ?», me demande souvent ma mère. «C’est quand que tu joues à l’Olympia?», m’interroge mon père.
En guise de réponse, je me suis amusée à leur faire un clin d’œil en chanson. De l’idée à l’enregistrement studio, il aura fallu très peu de temps pour réaliser ce titre arrangé par les producteurs belges Max Montagne et Antoine Dandoy et finalisé chez Nico D’Avell.
l’auteure-compositrice-interprète belge dévoile «C’est quand», son nouveau single pop, solaire et good mood à écouter entre amis, un soir d’été ou sur la route des vacances.
Une histoire à la con ?
Une chanson qui figure sobrement en piano-voix sur son 1er album « La Vie est Belle », rearrangée ici dans une version peps et catchy aux influences eighties pour exprimer la désillusion de Lucie face à l’amour à l’ère des rencontres sur internet, jusqu’à ce que la situation bascule : son histoire à la con serait-elle une histoire en béton ?
Réarrangée par le producteur Nico d’Avell et le multi-instrumentiste Antoine Dandoy, la chanson à la mélodie entêtante laisse entendre une autre facette de la voix de l’artiste qui sort de sa zone de confort. Quant au thème abordé, le morceau exprime la désillusion de Lucie face à l’amour à l’ère des rencontres sur internet, jusqu’à ce que la situation bascule : un partenaire en particulier lui donne l’envie de considérer son histoire à la con comme une potentielle histoire en béton.
Le clip haut en couleur, tourné à Bruxelles avec Marquise Productions dans les studios de la Fabrique 22a (qui ont vu passer Adèle, Stromae, Angèle, Roméo Elvis…) est réalisé par la brillante Sophie De La Forêt qui a également dirigé le shooting photos de la pochette signée Ophélie Longuépée.
Lucie-Valentine: «Cette chanson a une signification importante pour moi pour plusieurs raisons. Elle a été co-écrite avec les paroliers français Livia Phélizon et William Larqué à Astaffort, en 2016, au tout début de mon projet, dans le cadre des Labos Chanson organisés par Francis Cabrel. Elle s’ouvre avec le ver qui a inspiré la moitié de mon nom de scène : «Salut, c’est moi Lucie». Son réarrangement était une de mes envies pour clôturer l’aventure liée au 1er album, comme pour boucler une première boucle. Pour la réalisation du clip, j’ai contacté Sophie De la Forêt dont l’univers rétro, glamour, pop et coloré de son compte Instagram a été un coup de cœur immédiat. Le résultat obtenu est le fruit d’une très belle rencontre et collaboration artistique.»
Une voix dans tous ses éclats. Des mots simples en français, des combats. Une corde sensible, une part d’elle-même, du chaos à la lumière, une urgence extrême. Les couleurs pop d’une douce tempête, des chansons multi-facettes. Lucie-Valentine et ses humeurs du monde, c’est chic, charmeur et plein de bonnes ondes.
Je suis émue d’écrire que ce nouveau titre est désormais à vous. Un grand merci à toute l’équipe qui a travaillé sur cette chanson et ce clip qui racontent un chapitre sensible de ma vie sentimentale.
Lucie Valentine prépare la sortie d’un EP prévu pour 2025. « L’un sur l’autre » est le troisième extrait de ce projet, suivant « Il y a mer » et « Ralentir », continuant ainsi le récit du chemin parcouru par l’artiste dans sa quête de vie et d’essentiel. Ses chansons, nées d’une profonde mélancolie, se traduisent en ballades pop aux sonorités électro et acoustiques, transportant l’auditeur dans un voyage émotionnel et introspectif. Lucie Valentine incarne une dualité unique avec une force sereine, utilisant sa musique pour matérialiser sa rencontre avec elle-même. Soutenue par de nombreux médias belges, Lucie Valentine continue de séduire son public à travers la francophonie avec ses performances live et ses compositions touchantes.