STEPHANDO
Reconnu pour le sens de la mélodie, il multiplie les collaborations.
" Si vous sentez un soir venir d'une fenêtre
Des souffles inconnus que votre instinct surprend
Interrogez votre âme et l'émoi qu'ils font naitre
C'est ainsi qu'en secret, la voix du cœur s'entend "
Album disponible
Stephando – Auteur de l’intime, voix de l’instant
Stephando est un auteur-compositeur-interprète français dont les chansons oscillent entre chanson française, pop douce et folk épuré. Porté par une voix claire et une plume sensible, il explore les nuances du quotidien, les souvenirs enfouis et les émotions silencieuses.
Il trace un sillon singulier dans le paysage de la chanson française poétique et introspective. Sa musique, à la fois sobre et profondément expressive, s’inscrit dans la tradition des artisans de la parole : ceux pour qui chaque mot, chaque silence, chaque note porte un sens.
Issu d’une formation classique depuis son plus jeune age, c’est avec l’accordéon qui se voit primé, il se tourne à l’adolescence vers la guitare puis développe très tôt un goût prononcé pour la littérature, la poésie, et le travail du texte.
C’est tout naturellement que ses chansons deviennent des récits en miniature, des tableaux d’émotions, portés par une voix douce et grave, à la fois fragile et maîtrisée.
Après plusieurs projets autoproduits, il se révèle au grand public avec l’album » De l’ombre à la lumiére » en 2002 et propose, aprés plusieurs étapes autour de la production et collaborations diverses, » C’était avant « (2024), un disque à la fois pudique et lumineux, qui mêle mélancolie rétro et simplicité acoustique. Ses textes, empreints de nostalgie et de tendresse, parlent d’amour, de temps qui passe et de silences partagés.
Artiste discret mais sincère, Stephando s’inscrit dans la lignée des conteurs modernes et propose des concerts intimistes, entre poésie du réel et confidences musicales.
Discret entre autre car son désir va également à une soif de création et de découverte d’autres artistes en passant par la défense de la scène francophone.
STEPHANDO est de ces artistes qui ne cherchent pas la lumière, mais l’authenticité autour de thèmes relatant la réalité de la vie.
Il s’adresse à celles et ceux qui prennent encore le temps d’écouter, de ressentir, de réfléchir. Sa musique est un constata, un miroir, un souffle qui pourrait donner de l’élan et une parole à ceux qui n’ auraient peut être pas trouver les mots pour le dire, la ou la pudeur peut devenir silence.
Pour lui » Chanter, c’est mieux que de parler «
Et de la source jaillit
Une production Art-up Music
" Je laisse le temps faire"
» C’était avant «
https://fanlink.tv/STEPHANDO
C’était avant : un album de mémoires, entre ombres et vérité
Dans une époque où les projets s’enchaînent à vitesse éclair, rares sont les albums qui prennent le temps d’ouvrir une porte sur l’intime.
C’était avant, le nouveau projet de Stephando, fait partie de ces œuvres discrètes mais précieuses, à mi-chemin entre l’autobiographie musicale et le récit d’un quartier, d’une époque, d’un état d’esprit.
En onze titres, l’artiste tisse un lien entre ses cicatrices d’hier et son regard d’aujourd’hui. Avec sincérité, sobriété, et une plume toujours sur le fil.
Une voix, un vécu, un regard lucide
Stephando n’est pas un novice. Façonné par les réalités de la vie et les réflexions d’un homme qui a traversé des tempêtes, ne triche pas. C’était avant ne cherche pas à plaire, encore moins à séduire les algorithmes. L’artiste s’adresse à ceux qui savent. Ceux qui comprennent que certaines douleurs ne s’effacent pas, même lorsque les projecteurs s’allument.
Loin des egotrips superficiels ou des refrains formatés, l’album s’ouvre comme un carnet de route. Dès l’intro, un ton est donné : grave, dense, introspectif. C’est un album de mémoire.
Des thématiques universelles mais personnelles
Stephando revient sur son passé, mais sans nostalgie enjolivée. Ici, les souvenirs sont lourds, parfois douloureux. Il évoque la réalité du quotidien, les amitiés brisées, les trahisons, les ambitions avortées. Mais aussi l’amour – celui qu’on cherche, celui qu’on perd – et la famille, pilier silencieux dans un monde qui vacille.
Il y a dans les instrumentales une forme d’élégance minimaliste, travaillées et soignées et reconnu depuis pour le sens de la mélodie Quelques touches de piano, des percussions graves, un soupçon de reverb : juste ce qu’il faut pour créer un climat. Le reste, c’est Stephando qui le porte sur ses épaules.
Une plume sincère, un style en place
Ce qui marque chez Stephando, c’est cette capacité à raconter sans tomber dans le pathos, chaque titre est histoire. Chaque mot semble pesé et va droit au but.
Il n’y a pas de punchline gratuite, mais des lignes vraies, senties, souvent touchantes.
Le chant est posé, mature, avec cette assurance tranquille de ceux qui n’ont plus besoin de prouver. Stephando n’est pas là pour impressionner, mais pour exprimer.
Il y a dans sa manière de garder une forme de retenue, presque pudique, qui renforce encore la portée émotionnelle de l’album.
Un projet à contre-courant, profondément humain
C’était avant est un album exigeant, non pas par sa complexité, mais par l’attention qu’il réclame.
Il ne se consomme pas à la va-vite, entre deux stories Instagram. Il s’écoute d’une traite, de préférence seul, casque sur les oreilles, pour en capter toutes les nuances.
Ce projet ne révolutionne pas la chanson, mais ce n’est pas son ambition. Ce que Stephando propose, c’est un instant de vérité. Un moment suspendu, dans un monde saturé de faux-semblants. Et en cela, C’était avant est peut-être l’un des projets les plus honnêtes du paysage musical actuel pop/rock.
Avec C’était avant, Stephando signe un album à hauteur d’homme, pour l’ homme.
Un projet personnel, parfois rugueux, mais toujours sincère. Dans une industrie où tout va trop vite, il nous rappelle qu’il faut parfois s’arrêter, se retourner, et regarder en arrière.
Non pas pour s’y perdre, mais pour mieux comprendre ce qui nous a amenés jusqu’ici.
En somme, cet opus confirme Stephando comme une voix singulière de la chanson francophone, un artiste qui, avec pudeur et justesse, sait traduire les émotions les plus subtiles en musique. Une belle invitation à lâcher prise et à se laisser porter par le fil du temps.
» TIME FOR MUSIC «
https://fanlink.tv/STEPHANDO
Time for Music – Stephando (2024)
Avec Time for Music, Stephando signe un album instrumental de 45 minutes où la guitare, son instrument de prédilection, occupe une place centrale.
Composé de neuf titres, l’album explore une variété de styles, allant du rock au blues, en passant par des ambiances plus funk et nocturnes.
Une palette sonore riche et variée
Dès les premières notes de « Parabole », l’auditeur est plongé dans un univers mélodique où la guitare guide l’émotion. « Arpège » se distingue par ses harmonies délicates, tandis que « Rock Night » et « Blues Night » offrent des rythmes plus entraînants, évoquant des soirées animées. « Ma Nuit » apporte une touche introspective, contrastant avec l’énergie de « Funck », qui clôt l’album sur une note dynamique.
Une expérience immersive
» Time for Music » est un album où la guitare domine, reflétant son attachement profond à cet instrument.
Mais l’album n’est jamais uniforme et comporte même differentes couleurs sonnores
Ce qui frappe surtout, c’est la maîtrise des silences, l’espace laissé aux résonances, à l’auditeur, à l’émotion brute.
Time for Music n’est pas un disque de démonstration technique : c’est une œuvre de respiration.
Un album qui ne s’écoute pas en fond, mais en profondeur. Stephando prouve ici qu’il est autant compositeur d’ambiances que conteur de l’intime.
Sans un mot, il continue à parler — et peut-être plus fort que jamais.