PADDANG : Nouveau CLIP & album
Paddang est un trio de rock psyché formé en 2020 à Toulouse. Osees et King Crimson à fond dans lʼautoradio et un nom de groupe inspiré d’un spot de surf en Indonésie, PADDANG file à toute berzingue dans une épopée cosmique aux airs de prophétie herbertienne.
Loin de se cacher derrière un mur de fuzz ou une montagne de reverb, les trois voix dictent le ton et invoquent un besoin urgent dʼagir face à un monde au bord du chaos.
Leur premier album « Chasing Ghosts » sort en mars 2023 appuyé par une tournée d’une cinquantaine de dates (notamment quelques festivals comme Ecaussystème, Musicalarue, Montauban en scènes, Guitare en Scène, V&B Fest et des premières parties dans des SMAC : MADAM, Pogo Car Crash Control,, Psychedelic Porn Crumpets, It It Anita, PALES …).
Féroce et viscérale, « Predator » explore la frontière fragile entre nature humaine et instinct primal.
C’est une chanson brute qui parle de survie, de peur, et du prédateur qui sommeille en chacun de nous. Les voix puissantes et le rythme haletant délivrent un message urgent, où le rock devient une arme contre l’apathie. « Predator » n’est pas qu’une chanson, c’est une clameur contre l’abandon de notre humanité.
Tourné comme le dernier épisode d’une série B électrisante, le clip de Predator reprend l’histoire là où celui de Pressure s’était arrêté.
Dans les entrailles d’une grotte, les industriels de la Lizard Corp ont fini par déclencher l’irréparable en exploitant sans relâche la Draconite, pierre d’énergie mystique.
Transformés en créatures reptiliennes, ils se lancent dans une traque sauvage de Moros, à travers les paysages dévastés d’une planète à bout de souffle.
Sauvée in extremis par un mystérieux gardien inspiré du Quetzalcoatl, Moros prend la route vers Agartha, cité légendaire où elle espère retrouver un semblant de paix.
Paddang amorce une nouvelle mutation avec “Lost in Lizardland”, un deuxième album écrit comme un Road movie SF post-apocalyptique.
Osees et King Crimson à fond dans lʼautoradio, le trio toulousain file à toute berzingue dans une épopée cosmique aux airs de prophétie herbertienne.
Loin de se cacher derrière un mur de fuzz ou une montagne de reverb, les trois voix dictent le ton et invoquent un besoin urgent dʼagir face à un monde au bord du chaos.
Fort de deux années passées à sillonner les clubs et les festivals, Paddang bouillonne à lʼidée de replonger dans la fournaise du live pour partager sa fièvre primitive avec le public.
« Lost In Lizardland« , c’est la bande originale d’un road movie SF aux airs de prophétie Herbertienne. Une histoire improbable, presque absurde, dans laquelle l’auditeur évolue à l’écoute de chaque titre. Bien plus qu’une simple fable pour enfants, cet album se révèle être une véritable mise en garde face aux enjeux mondiaux actuels, tant les parallèles avec notre réalité sont évidents.
Ces 8 nouveaux titres, racontent l’histoire de Moros, une jeune femme désabusée cherchant à survivre dans un monde au bord de l’effondrement. Un univers riche, envoûtant et contrasté à l’image de l’identité sonore de PADDANG, où les guitares fuzz côtoient des paysages réverbérés, tandis que les voix s’unissent pour tracer la voie d’un rock effréné, à la fois brut et lumineux. Enregistré et mixé par Cédric Forestier au Stud du Sud, puis masterisé par Olivier Planchard, “Lost In Lizardland” développe un son massif où les influences heavy psych, garage et pop du groupe n’auront jamais été aussi évidentes.
RENCONTRE avec – PADDANG –
Comment le groupe s’est-il formé ?
> On s’est rencontré en 2019 dans une jam session à Toulouse. On a joué un morceau de QOTSA qui était et est toujours une de nos influences communes. Quelques mois plus tard en 2020, on créait Paddang. Et le reste c’est de l’histoire !
D’où vient le nom « Paddang » ? Y a-t-il une signification particulière ?
> C’est un nom qu’on a ramené d’un spot de surf en Indonésie, Padang Padang ! On se l’est approprié en « Paddang » à notre retour en France.
Parlez-nous de votre album « Lost In Lizardland »
Comment est-il né ? De quoi parle t il ?
> Cet album c’est tout ce qu’on a toujours voulu faire sans arriver à mettre le doigt dessus jusqu’à présent. C’est un album qu’on qualifiera de concept, parce qu’on a d’abord écrit un scénario de film autour de sujets qui nous tenaient à coeur : l’écologie et la destruction de notre monde, les inégalités, la peur de l’autre, la montée des extrêmes et les guerres qui éclatent partout dans le monde…
Et ensuite on en a écrit la bande son, à notre sauce. Je pense qu’il est symptomatique de notre époque.
On voulait parler de tout ça, mais pas dans une démarche punk qui est très directe, alors on s’est inspiré de livres/films de SciFi comme Dune ou MadMax pour créer notre propre lore.
On est aussi fan de Jurassic Park. C’est comme ça qu’est né Lost In Lizardland !
Vous avez également un rapport a l’image pour étayer certains de vos morceaux, Est-ce important pour vous d’avoir un message ? Vous sentez vous concerné dans l’évolution du monde dans lequel nous vivons ?
> Avec cet album plus que jamais c’est sûr. On a la volonté de proposer une expérience qui soit complète. Partant d’un scénario de « court métrage » on voulait pouvoir le mettre en image dans une mini-série de clips !
On se posait moins de questions quand on a commencé le groupe, mais aujourd’hui on croit que la musique doit aussi transmettre une émotion, un message, aussi varié soit-il : danser et s’amuser, s’oublier, sensibiliser et faire réfléchir sur un sujet, rappeler des souvenirs ou aider à avancer… etc
Vous êtes très présents sur scène. Quelle place tient le live dans votre parcours, dans la scène musicale actuelle avec un style comme le votre ?
> Haha et on aimerait l’être beaucoup plus, mais c’est difficile de se faire une place en indé !
Le live, c’est comme ça qu’on s’est rencontré, ça fait partie de nous. La musique est faite pour être partagée, partagée entre musiciens puis partagée avec le public qui la reçoit.
Cette communion prend tout son sens sur scène à la rencontre des gens, c’est pour ça qu’on aime autant ça.
On leur permet de vivre quelque chose, de se défouler pendant 1h et en échange ils nous nourrissent d’énergie.
Portrait chinois : si vous étiez ?
– Un son : le bruit des vagues
– Un instrument : Guitare
– Un morceau : Song for the deaf – Queen of the Stone Age
– Un clip : Catching Smoke de King Gizzard & The Lizard Wizard
– Un personnage : Paul Atréides (Dune)
le mot du groupe ( un mot, une pensée, une anecdote )
Merci de soutenir la scène émergente 🙂
Actu ? des projets ?
Faire vivre l’album « Lost In Lizardland »
On vous prépare aussi des petites live session à pas piquer des hannetons.
PADDANG EN TOURNÉE
14 Mars – Lo Bolegason – Castres (81) Support Déportivo
18 mars – Paloma – Nimes (30) 30 avril – Clutchorama – Toulouse (31)
3 Avril – Rock School Barbey – Bordeaux (33)
15 Mai – Le Metronum – Toulouse (31)
16 Mai – Le Cri’art – Auch (32) Support Madam
17 mai – Le 24h de Toulouse – Toulouse (31)
29 mai – Le Fotomat – Clermont-Ferrand (63)
30 mai – Velo Bar – Labergement Sainte-Marie (25)
31 mai – La Ferme à Jazz – Bourg en Bresse (01) – Release Party 98 DB
1er juin – St-Antoine – Mâcon (71)
4 Juin – Dijon – Deep Inside Klub (21)
5 Juin – La mécanique Ondulatoire – Paris (75) – Release Party Le Cèpe
28 Juin – Festival Perche en Rock (61)
29 Juin – AK Shelter – Nantes (44)
20 juillet – Fetes de Chapelle de Rousse – Jurançon (64)
15 Novembre – Los Bambasitos – Eauze (32)
SUR LES RESEAUX
Paddang (@paddangband) • Photos et vidéos Instagram
SITE OFFICIEL PADDANG
paddang.bandcamp.com/album/lost-in-lizardland
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